Aux négateurs de percolateurs, aux mangeurs de l’eusses-tu cru, aux retournés des aisselles, aux barrés d’ocre noir, aux adeptes des cuillères à spatule j’adresse mon stupre et mon levain. Je pleure par les pieds les offrandes du cœur. J’offre mon squelette au rabbin à chaussettes, au pope cornu, au curé de La Roche sur Foron. Pas de religion, de doctrine, de vierge ou de putain. Je suis mon corps de brute dont la sexualité va de dehors au dedans. Fini la pose, haro superflu. Ma mémoire c’est du sexe. D’enfant mâle, rond, sans rudesse plein de mépris pour moi-même, Foutriquet me dis-je et me dois-je à ma promise et faire de ma Windsor (80 ans au compteur et à un vu de seins cinq de plus) une tristesse où une fois de plus je décharge mon outil de jardiner. Ma chasse n’est d’aucun chant, n’est tombé d’aucun mystère, ma châsse c’est du sexe. Larmes et hoquet font monter le thermomètre. A deux nous serons une fois de plus vieux tigres de guère, oiseaux bécasses, poissons voraces amoureux des étoiles, hirondelles basses (quand repassent les cavalières), cygnes au trognon blanc de plume. De ma tête le cerveau glissa dans la culotte de ladite lady viande à piton. Exode, exode. L’honorer de tant de vilaines pensées qui finissent en boulemimines jusqu’à ton appareil à boyau. Pantins nous sommes, pantins nous resterons, adorateurs du rut en faisant glisser mon brandi dans ta hure. Morue et maquereau gloire aux nuées, gare aux écailles. Allons-y du croupion et du reste. A foison dans ta toison pour une ablumition à toute allumure.