Moi, je ne voyage plus, et c’est la dernière fois que je viens ici. J’en ai assez.
Une identité à part entière.
Une transformation progressive des caractères naturels pour aller du côté de la mère, de la mère et ses crises d’hypocondrie. Ses plaintes.
Mon frère et ma sœur.
Enchantée.
Elle s’est prise dans des histoires de karma hindou inextricables. Et c’est à cette époque qu’elle a fréquenté assidûment les diseurs de bonne aventure, à tirer le Yi-King sans aucune cohérence. Ma mère ne voyait rien et préférait jouer au Triomino des heures entières dans la cuisine et se fermer doucement à toute idée de guérison. Elle est morte, voilà tout.