Attention, cette lyrique n’a pas peur du mal :
« Parfois une histoire comme un caillou
Tombe, j’en ramasse une :
“Du lait mauvais”
Cette toute petite fille ne ment pas.
Elle parle comme elle l’a vécu : “Du lait mauvais”.
Un homme empoignait son sexe pour lui ouvrir la bouche avec.
Est-ce qu’il y a une pitié dans le langage ?… (p.93)