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La Styx Croisières Cie (6), par Michel Host

Ecrit par Michel Host le 04.09.18 dans Chroniques régulières, La Une CED, Les Chroniques

La Styx Croisières Cie (6), par Michel Host

 

Juin 2018

 

« “Allons, à quoi bon pleurer comme cela ! se dit avec sévérité Alice. Je te conseille de cesser sur le champ”.

Elle avait l’habitude de se donner de très bons conseils (qu’elle suivait du reste rarement, et il lui arrivait de se morigéner si fort que les larmes lui en venaient aux yeux ; elle se rappelait même avoir essayé une fois de se tirer les oreilles parce qu’elle avait triché au cours d’une partie de croquet qu’elle jouait contre elle-même ; car cette singulière petite fille aimait beaucoup à faire semblant d’être deux personnes », Lewis Carroll

Traduction de H. Parisot

Jules de Montalenvers de Phrysac. Noté dans le Livre de mes Mémoires

Lµ1. La sagesse d’Alice égale celle de Socrate, et pourrait même lui être supérieure en ce qu’elle n’a besoin que d’elle-même pour soutenir la conversation.

µ2. Ce 1erjuin, le taux des mensonges gouvernementaux atteint des sommets. M. Macron préside une France qui n’a de réalité que dans ses fantasmes de banquier.

Ce serait faire trop d’honneur à M. Trump que de le comparer à un Falstaff qui ne ferait jamais rire, et à M. Macron de le voir tel un roi Lear atteint de nanisme. Le vrai est que le premier dirige une immense chaîne internationale de supermarchés, le second une chaîne de supérettes, tout en se voulant de la taille de son rival et faux-ami.

µ3. Montée de l’athéisme en terres musulmanes. Peut-être allons-nous pouvoir nourrir nos premières espérances. L’athéisme – sur lequel le lexique arabe hésite tant la notion lui est étrangère :milhid, murtad, kafir – serait dans une première spirale montante (Le M. du 21/XII/17) : Waleed Al-Husseini fut arrêté à l’âge de 21 ans, dans sa ville natale de Qalqilya (Cisjordanie), emprisonné et torturé pour « affront à l’encontre du sentiment religieux ». Il avait qualifié l’islam de « religion de terreur ». Il a pu gagner Paris où il a fondé, en 2013, la branche française du Conseil des ex-musulmans.

Ex-musulman ? « Une fois qu’on arrêtera de vouloir me tuer, je pourrai cesser de me définir ainsi… », déclare Maryam Namazie, installée à Londres depuis 1979.

Imad Iddine Habib, marocain, placé dans une école coranique, déclare : « Je ne voulais plus aller à la mosquée ; c’était asphyxiant, je trouvais cela stupide. Or, pendant sept ans, c’est tout ce qu’on m’a fait étudier : la religion.  À 13 ans, j’ai dit à ma famille que je ne croyais pas en Dieu. Elle m’a renié, et je suis parti. […] Mon propre père, soutenu par des avocats islamistes, a porté plainte contre moi quand j’ai créé le Conseil des ex-musulmans du Maroc. Alors, j’ai fui ».

La réalisatrice tunisienne Nadia El Fani : « Oui, on a le droit de hurler qu’on est athée, de trouver que les religions, toutes les religions, c’est stupide. […] Qui a jamais vu un athée tuer un religieux ».

Un jeune Jordanien, Mohammed Alkhadra, à la Conférence de Londres : « Pendant que nous mourons, vous parlez d’islamophobie ».

En effet, les meilleurs soutiens de la forte tendance islamolâtre, des Jivaros-progressistes, pour la plupart sourds et aveugles quant au danger mortel que nous fait courir l’islam, ne cessent de qualifier d’islamophobes ceux qui savent trois petites choses sur cette religion fasciste et la rejettent, tout comme eux, dans une extraordinaire contradiction philosophique, rejettent le catholicisme et la chrétienté comme porteurs d’un esprit régressif et anti-républicain. Je demande : a-t-on vu, depuis deux cents ans, un chrétien assassiner un musulman en raison de sa religion fixiste et passéiste ? On me dit : « Vous rabâchez ! N’en avez-vous pas assez de taper sur le même clou, de “stigmatiser” ces pauvres musulmans ? ». Je rabâche, en effet, car vous semblez vouloir ignorer que l’islam porte la peste et la mort. S’il devait triompher, vous verriez vos filles claquemurées dans leurs maisons la tête couverte de drap noir, privées de leur égale part d’héritage et traitées chaque mois d’impures qu’on ne salue plus et à qui on ne serre plus la main. C’est la peste. C’est l’indigence mentale. S’ils devaient triompher, votre civilisation et votre vie en seraient détruites. On le voit chaque semaine ou presque : à Liège, tout récemment encore, deux femmes policières assassinées à coups de couteau dans le dos par un fanatique d’Allah, puis un jeune homme circulant en voiture révolvérisé sans autre forme de procès. C’est la mort. Voilà ce que je crains et dénonce, accompagné de bien d’autres sans aucun doute.

Vous ne comprenez pas qu’un musulman fanatisé, un « radicalisé » comme on dit, ne supporte pas en son for intérieur que, pensant le traiter démocratiquement, vous vous adressiez à lui d’égal à égal. Dans son esprit, vous n’êtes qu’un mécréant, un inférieur donc, qui devrait s’incliner devant lui et sa supposée supériorité de seul véritable croyant sur cette planète. Un fanatique musulman ne représente pas l’humanité, mais sa seule communauté religieuse. En le traitant démocratiquement, en égal, vous l’insultez. Vous ignorez tout de l’esprit de l’islam. Vous ne vous demanderez même pas, car vous serez mort, pourquoi il vous aura poignardé en criant Allah u Akbar ! Et il ne changera pas, car cette tradition est inscrite dans le saint Coran, la parole « incréée »,  excédant tout temps et toute autre parole sacrée (ont été relevées dans le Coran 83 provocations au meurtre et à la guerre pour cause de discrimination religieuse – Cf. Hubert Lemaire, « Musulmans vous nous mentez », aux éditions Riposte Laïque, maison de droite, certes… – mais quoi ! Une information est vraie ou fausse, et j’ai toujours pensé que lorsque M. Le Pen dit qu’il pleut, et que regardant à la fenêtre je constate qu’il pleut, eh bien personne ne me fera dire qu’il a tort !).

Il faut donc soutenir activement cet espoir combattant et juste soulevé par des « ex-musulmans », traités eux aussi d’islamophobes par les faibles d’esprit de notre pays qui s’imaginent que la foi républicaine et laïque viendra à bout de la foi musulmane (1). De Nadia El Fani encore : « On ne peut pas se compromettre avec Riposte Laïque. Mais critiquer l’islam, exiger la laïcité comme nous le faisons, ce n’est pas être islamophobe. En revanche, ne pas prendre en considération la possibilité de la modernité dans les pays musulmans, ça c’est du vrai racisme antimusulman ».

Lµ4. Pierre Rabhi, « prophète » de l’écologie et de la société heureuse (Le M, 10-11 juin 2018), célèbre ses 80 ans dans sa ferme de l’Ardèche ? Deux citations :

« J’ai compris alors (à Gorom Gorom) que c’était la femme qui portait la société. C’est elle la première levée, elle qui allaite l’enfant, qui fait cuire le peu qu’il y a à faire cuire, qui se charge de la corvée d’eau, de bois, qui gère les ressources… Ce sont des héroïnes extraordinaires ».

« La solution ne passe pas par le politique, elle passe par l’élévation de la conscience », Pierre Rabhi.

µ 5. Nous lisons ce titre pour un modeste article de presse (Le M, 6/II/2008) : « France. Le nombre de suicides en net recul ». Le lecteur se demande aussitôt s’il ne s’agit pas de l’une de cesdéfèque-news d’inspiration gouvernementale, quelque chose comme ces annonces nocturnes des veilleurs de lanternes publiques de nos rues, les « serenos » des rues espagnoles des XVIe aux XVIIIe siècles : « Citoyens, tout va bien… Dormez en paix ! ». L’article statistique qui suit montre que sur une année la diminution des suicides est d’une assez faible ampleur.

µ 6. Promesse à moi-même :Je cesserai de dire et médire des chrétiens et des catholiques. Il y a bien assez de monde pour s’en charger.

µ 6. Délices coraniques.

« Les Juifs ont dit : Uzaïr est fils de Dieu !

Les chrétiens ont dit : Le Messie est fils de Dieu !

Telle est la parole qui sort de leurs bouches ; / ils répètent ce que les incrédules disaient avant eux / Que Dieu les anéantisse ! / Ils sont tellement stupides ! » (Sourate 9, L’Immunité, v. 30, Trad. Denise Masson).

Charmants garçons ! Merveilles de la religion ! Chemin de la tolérance. Ô mes frères !

µ 7. « Une initiative populaire veut interdire la circoncision au Danemark » (Le M, 3-4/VI/2018). Selon des médecins danois : « Si les parents n’ont pas le droit de fesser ou gifler leurs enfants, pourquoi peuvent-ils approcher un couteau de leur pénis ? ». Selon la synagogue : « Les Juifs ayant la volonté de continuer à vivre religieusement n’auront pas d’avenir dans un pays qui veut leur interdire une tradition qui a été l’expression de l’identité juive pour des centaines de générations ».

Moi : Soit la raison contre la superstition, le bon sens contre l’imbécillité religieuse séculaire : ne pas oublier, les Nazis déculottaient leurs prisonniers pour reconnaître Juifs et non-Juifs. Ils raisonnaient comme les rabbins : l’identité est au bout du pénis !

Moi encore : « Quel gâchis ! Que vont-ils faire de tous ces prépuces ? »

µ 8. Pour s’en convaincre, bis repetita. À Liège, un délinquant radicalisé tue trois personnes (Le M, 31/V/18).Il s’appelle Benjamin Hermann. Il assassine deux policières et un étudiant de 22 ans.

Moi : soulignons l’impardonnable incorrection du commentateur du Monde, lequel qualifie le tueur de « délinquant » alors que son personnage est maintenant entré dans nos paysages citadins, lui et ses modes d’action aimablement tolérés, voire acceptés par nos sociétés, et d’abord dans les mosquées et les centres culturels musulmans où l’on ne consent à les condamner que du bout des lèvres. Des policiers belges l’ont « abattu ». Quelles brutes ils font !… ce doit être par erreur.

En complément (Le M, 14/VI/18) :« Lors du repas annuel (dîner du CFCM) de rupture du jeûne du ramadan », le président Macron, au contraire de certains de ses prédécesseurs, n’a pas jugé utile de se déplacer ». C’était le 12 juin.Il n’avait sans doute rien à dire aux mahométans de France. Il n’y a rien à dire ni à redire, en effet, au Coran. Les ministres Collomb (intérieur) et Philippe (premier m.) ont pressé les musulmans d’agir, les ont appelés à une grande concertation, à lutter pour la prévention de la radicalisation, à s’organiser enfin… Ils ont dit oui. Vers la fin août, rien n’est encore venu, pas le plus petit mot nous avisant de travaux ou réflexions préparatoires. Il y a fort à parier que routine et inertie seront les réponses.

Lµ 9. Miettes ramassées sous les meubles de la maison de campagne(in Le M, 20-21/VIII/2017)

§. Pierre Bergounioux : « J’ai le sentiment d’écrire pour les morts ». Commentaire : « Même bien vivants, ils sont morts, car ils vivent dans le monde d’après ».

« Le roman ne l’intéresse plus, il le considère comme un divertissement bourgeois. C’est la réalité tangible qui est son terrain de prédilection ». Commentaire : « Maladie génétique. Elle atteint tout romancier normalement constitué. Il est atteint de cette faiblesse inguérissable : croire au réel ».

« L’écriture mange la vie, c’est dangereux, on risque toujours de rompre un moment avec la communauté »Commentaire : faire de la plomberie aussi mange la vie. La « communauté » est une plomberie détériorée.

 

§. Le magazine duMonde (17/II/2018) présente un écrivain critique de l’islam en ces termes : « Laurent Bouvet s’est engagé, dit-il, “dans un combat idéologique contre l’islamisme, comme il y eut des combats idéologiques contre le communisme ou contre le nazisme”. Cela induit que ceux qui ne le combattent pas sont soit naïfs, soit complices ».

Moi : c’est ici l’occasion de quelques mots bien sentis. Comme toujours, on isole d’un texte une phrase et l’on en fait ce que l’on veut.

Cette présentation, ne serait-ce que dans le « dit-il », respire l’hypocrisie, la fausse information, la suspicion jetée sur l’auteur en question et sur son combat. D’autre part ces présentateurs sentent le Jivaro-progressisme à plein nez : il va pour eux de soique l’on est naïf ou complice si l’on apprécie l’islam, et donc jusqu’à l’islamisme, or ils en sont venus à se prosterner aux marches de la mosquée. Les acceptant sans l’ombre d’une critique, comme une religion pareille aux autres, ils sont donc bel et bien naïfs et complices des assassinats de masse ou individuels, des viols, des discriminations commis par des musulmans, faits qu’avec d’autres je ne cesse de dénoncer, prenant à leurs yeux le caractère d’un infâme islamophobe.

Il faut crier ces choses aux oreilles de tous les français sourds et ignorants, plus naïfs que complices d’un islam augmentant chaque jour davantage son poids démographique dans notre pays, visant à nous submerger, à nous endoctriner, à nous convertir ou à nous soumettre. Derrière l’islam s’avance mécaniquement l’islamisme qui le sous-tend, avant d’en prendre la direction. Le Coran, comme toujours, l’atteste, et, si j’ose dire, en fait foi :

« Combattez : ceux qui ne croient pas en Dieu et au jour dernier / ceux qui nedéclarent pas illicite / ce que Dieu et son prophète ont déclaré illicite ; / ceux qui, parmi les gens du Livre, ne pratiquent pas la vraie Religion.

Combattez-les / jusqu’à ce qu’ils payent directement le tribut / après d’être humiliés », Coran, sourate IX, verset 29

« Il n’y a de Dieu que lui ! / Gloire à lui ! / À l’exclusion de ce qu’ils lui associent », Idem, sourate IX, verset 31, Trad. Denise Masson, Folio classique.

Le Coran, rappelons-le, est la Constitution de l’islam. Si l’on veut bien le lire dans et entre les lignes, une guerre à retardement est déclarée aux autorités laïques françaises, aux lois et dispositions démocratiques, à notre organisation sociale, à nos mœurs et traditions, à notre peuple de tradition chrétienne quoi qu’on en ait, et, in fine à tous les non-musulmans de la terre. Derrière l’islam marche l’islamisme. Le projet est celui d’un califat universel. Ce n’est qu’une affaire de temps, et à Istanbul comme à Alger, ils nous l’ont affirmé : le temps travaille pour nous.

Il en découle que, dans ce pays, toute acceptation de l’islam sur notre sol est un acte de pure francophobie.

 

J’ai quatre mots à vous dire :

D’autres mots et assemblages étranges

Happelourde : Pierre fausse mais qui a tout l’éclat d’une pierre précieuse. Exemple : une promesse du président Emmanuel Macron… Les nobles intentions d’un ministre.

Heurette : Se disait il y a longtemps de la demi-heure que sonnaient les pendules. C’est plutôt joli. Je verrai bien celui qui croit à la résurrection des morts, dire, à l’agonie et ayant consulté sa montre : « Mon heurette est venue ».

Intromission : Action d’introduire un corps dans un autre. Sorte d’abus dont il est préférable de ne pas abuser, de ne pas s’en faire une mission, sous peine d’avoir affaire aux tribunaux.

Ixode : Le poux des bois, ou tique, se sentirait anobli si on lui rendait son nom savant : « Tiens ! Un ixode ».

Langue-de-carpette : Cet outil de serrurier (Louis XVI l’utilisa) ne peut être confondu avec le monstre aplati et muni d’une langue de serpent venimeux que l’on voit dans les antiques représentations diaboliques.

Langue-de-serpent : On tend à confondre ce silex préhistorique avec la personne d’une commère bavarde ou d’une médisante belle-mère. A-t-on vraiment tort ?

Latomies (les) : Anciennes carrières de marbre transformées en prisons. Comme quoi les princes et les rois n’étaient pas les seuls à vivre dans des décors luxueux.

Léontine : (Esp. Leontina) Longue chaîne de montre à laquelle les dames faisaient faire le tour de leur cou. Ainsi, les étrangleurs des époques reculées n’avaient pas besoin de longtemps chercher leurs instruments de travail.

Locustelle : Espèce de fauvette que l’on ne voit plus depuis Noé et Mathusalem.

Logogriphe : Langage obscur, énigmatique. Il aboutit à une langue mal connue que parlent les ivrognes, les paranoïaques, les drogués et les jaloux pathologiques avant de sombrer dans le coma.

Lucifer : Variété de colibri, et aussi de crustacé des grands fonds marins. On s’explique donc aisément qu’on ait cru le voir seulement dans de douteuses fables religieuses.

 

Devinettes pour amuser le mois de juin– Enjoy your summer !

Il ne peut… elle ne peut le faire, le dire, etc. Qui ne le peut ?

1. Il court à toutes jambes

2. Il numérote ses abattis

3. Faire acte de présence

4. Échapper à l’âge ingrat

5. Avoir des airs penchés

6. N’avoir l’air de rien

7. Donner le coup de pied de l’âne

8. Payer en liquide

9. Entendre une mouche voler

10. Faire dans son froc

 

Réponses

1. L’unijambiste, le cul-de-jatte

2. Le ver de terre, le faible en maths

3. Dieu, qui, d’ordinaire, brille par son absence

4. Personne ne le peut. Chaque âge est ingrat

5. Le maréchal des Logis Chef, au défilé du 14 juillet

6. Celui qui se prend pour quelqu’un

7. Le cheval

8. Celui, celle qui est à sec.

9. Un sourd

10. Le défroqué, le sans-culotte

 

Fin de la Styx Croisières Cie, N°6, pour juin 2018

 

Michel Host

 

(1) On a vu comme une religion (la foi catholique polonaise) a fini par mettre à bas 70 ans de religion laïque communiste.

 

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A propos du rédacteur

Michel Host

 

(photo Martine Simon)


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Rédacteur. Président d'honneur du magazine.


Michel Host, agrégé d’espagnol, professeur heureux dans une autre vie, poète, nouvelliste, romancier et traducteur à ses heures.

Enfance difficile, voire complexe, mais n’en a fait ni tout un plat littéraire, ni n’a encore assassiné personne.

Aime les dames, la vitesse, le rugby, les araignées, les chats. A fondé l’Ordre du Mistigri, présidé la revue La Sœur de l’Ange.

Derniers ouvrages parus :

La Ville aux hommes, Poèmes, Éd. Encres vives, 2015

Les Jardins d’Atalante, Poème, Éd. Rhubarbe, 2014

Figuration de l’Amante, Poème, Éd. de l’Atlantique, 2010

L’êtrécrivain (préface, Jean Claude Bologne), Méditations et vagabondages sur la condition de l’écrivain, Éd. Rhubarbe, 2020

L’Arbre et le Béton (avec Margo Ohayon), Dialogue, éd. Rhubarbe, 2016

Une vraie jeune fille (nouvelles), Éd. Weyrich, 2015

Mémoires du Serpent (roman), Éd. Hermann, 2010

Une vraie jeune fille (nouvelles), Éd. Weyrich, 2015

Carnets d’un fou. La Styx Croisières Cie, Chroniques mensuelles (années 2000-2020)

Publication numérique, Les Editions de Londres & La Cause Littéraire

 

Traductions :

Luis de Góngora, La Femme chez Góngora, petite anthologie bilingue, Éd. Alcyone, 2018

Aristophane, Lysistrata ou la grève du sexe (2e éd. 2010),

Aristophane, Ploutos (éd. Les Mille & Une nuits)

Trente poèmes d’amour de la tradition mozarabe andalouse (XIIe & XIIIe siècles), 1ère traduction en français, à L’Escampette (2010)

Jorge Manrique, Stances pour le mort de son père (bilingue) Éd. De l’Atlantique (2011)

Federico García Lorca, Romances gitanes (Romancero gitano), Éd. Alcyone, bilingue, 2e éd. 2016

Luis de Góngora, Les 167 Sonnets authentifiés, bilingue, Éd. B. Dumerchez, 2002

Luis de Góngora, La Fable de Polyphème et Galatée, Éditions de l’Escampette, 2005