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Ecriture

Ecrire, c’est tuant !

Ecrit par Marc Ossorguine , le Jeudi, 05 Juin 2014. , dans Ecriture, Nouvelles, La Une CED

 

Ecrire. Comme des milliers d’autres, ils en rêvent. Ecrire et pouvoir ne faire que ça. Pouvoir répondre à la question du pourquoi on écrit par cette réponse lapidaire de Beckett, « bon qu’à ça ». Ecrire. Oui mais quoi ? Et à quoi bon ? Des milliers de livres publiés chaque année. Et pour un publié, combien de recalés, de refusés… Et dans ceux qui arrivent dans les librairies, combien oubliés, inaperçus qui partent au pilon avant peu ?

Certains tentent aujourd’hui leur chance sur internet. Leur chance ! Pour mettre leurs phrases et leurs lignes en ligne, c’est d’une facilité ! Et puis… Et puis rien.

Rien parce qu’au delà de la pulsion il y a la chute. Parce qu’au delà du mirage il y a le sable, jusqu’au bout des horizons les plus improbables.

Périple (suite) - 4, 5, 6 et 7/7

Ecrit par Clément G. Second , le Mardi, 27 Mai 2014. , dans Ecriture, Création poétique, La Une CED

 

 

 

 

4

 

Réunis nous ne sûmes jamais nous défaire

De l’énigme excluant du cap un horizon

Celui-là seul où terre et ciel s’interpénètrent

Par de ces mers vibrées de leurs jeux rayonnants

La boucle

Ecrit par Patryck Froissart , le Lundi, 12 Mai 2014. , dans Ecriture, Création poétique, La Une CED

 

 

 

 

 

J’ai drogué ma jeunesse en de fumeux troquets,

J’aimais tant mes vingt ans que je les ai croqués,

J’ai pratiqué la gueuse et j’ai couru l’outrance,

Je n’ai pas vu ma muse en cette folle errance.

Tu me dis tout

Ecrit par Matthieu Gosztola , le Vendredi, 09 Mai 2014. , dans Ecriture, Création poétique, La Une CED

 

 

 

 

 

Tu voulais que j’écrive

Sur toi tu

 

Me répétais que tu voulais

Que j’écrive pour ne pas

 

Écrire sur toi mais pour

Parler de toi quand je

Poèmes V - VI & VII

Ecrit par MCDEM (Murielle Compère-Demarcy) , le Mercredi, 07 Mai 2014. , dans Ecriture, Création poétique, La Une CED

 

 

 

-V-

 

L’hiver se contracte, tapi

dans le ruissellement glacé des muscles

endormis

 

Foulées atones, marches obscures

autour du feu pelotonné

en chien de fusil

– l’âtre de l’attente veille –