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Gwen Garnier-Duguy

Gwen Garnier-Duguy

 

Gwen Garnier-Duguy publie ses premiers poèmes en 1995 dans la revue issue du surréalisme, Supérieur Inconnu, à laquelle il collabore jusqu’en 2005. En 2003, il participe au colloque consacré au poète Patrice de La Tour du Pin au collège de France, y parlant de la poétique de l’absence au cœur de La Quête de Joie. Fasciné par la peinture de Roberto Mangú*, il signe un roman sur son œuvre, Nox, aux éditions le Grand Souffle. Ses poèmes sont publiés dans les revues Sarrazine, La Sœur de l’Ange, POESIEDirecte, Les cahiers du sens, Le Bateau Fantôme, La main millénaire, Nunc, Les hommes sans épaules, Phoenix, Siècle 21, Arpa, A l’Index, Ditch poetry (Canada), Polja (Serbie), The Enchanting Verses Literary Review (Inde), The Metric (GB), The Linden Avenue Literary Journal (New-York). Son poème Sainteté je marche vers toi a été publié dans L’année poétique 2009 aux éditions Seghers. Participation à l’anthologie consacrée aux droits de l’homme : In Protest, 150 poems for human rights, Institute of english studies/school of Advances Study, University of London.

Trois participations à des catalogues d’Art : Auguste Chabaud, la ville de jour comme de nuit, Paris 1907-1912, Editions Réunion des Musées Nationaux, 2003 ; Roberto Mangù, Fuego, Editions Venti Correnti, 2006 ; Roberto Mangù, Permanenza, Editions SHINfactory, 2007 ; En 2011, son premier livre de poésie Danse sur le territoire, amorce de la parole, paraît aux éditions de l’Atlantique, préfacé par Michel Host, prix Goncourt 1986 ; 2014 : Le corps du monde, éditions Corlevour, livre de poèmes préfacé par Pascal Boulanger.

En mai 2012, il fonde avec Matthieu Baumier le magazine en ligne Recours au Poème exclusivement consacré à la poésie, puis Recours au Poème éditeurs en Octobre 2014.

* NB : Roberto Mangù dont un très beau tableau La refloraison du monde (toile 50x50, 2002) illustre l’ouverture du recueil.